> exposition de Ferjeux Van der stigghel au Havre





> Comme si vous y étiez, une balade dans l'expo avec Ferjeux van der Stigghel, veuillez vous rendre sur le lien ci-dessous.  

http://webtv.univ-lehavre.fr/spip.php?article116

> Courrez en kiosque... FISHEYE N°2 est arrivé !

Le numéro 2 du magazine FISHEYE est disponible en kiosque. Retrouvez notamment dans la rubrique société les membres de l'équipe noLand qui apportent leurs éclairages sur le portfolio des travellers. Trois thèmes y sont abordés, "repenser l'habitat" "construire le quotidien" et "créer son économie".

> Pour plus d'informations, veuillez vous rendre sur le lien ci-dessous.  
http://www.fisheyemagazine.fr/magazine/






 

> Photos vernissages

Nous espérons que vous avez passé un bel été et pour cette rentrée des classes, noLand vous propose de visualiser en images le vernissage de l'exposition 
                            Travellers, campements et bords de ville 
qui s'est tenu dans le cadre du projet Yes We Camp à Marseille le 27 Juin 2013. Merci à Rossella pour les photos.


> D'autres photos sont disponibles sur le facebook de Yes We Camp, veuillez vous rendre sur le lien ci-dessous.  
https://www.facebook.com/media/set/?set=a.585766884776711.1073741882.455049457848455&type=3




> photos Rossella











> YesWeCamp Marseille 2013 !

L’exposition Travellers, campements et bords de ville rejoint 
Yes We Camp
à Marseille du 29 juin au 14 juillet 2013

Vernissage le jeudi 27 juin à 18h

Exposées à Paris en janvier dernier à la Maison Rouge lors des 2èmes Rencontres Internationales du Forum Vies Mobiles, les photographies de Ferjeux van der Stigghel (collectif noLand) prennent le large. Avec Lestakcrew, laboratoire artistique marseillais, elles rejoindront Yes We Camp du 29 juin au 14 juillet, dans le cadre de Marseille Off capitale européenne de la culture. L’exposition Travellers, campements et bords de ville s’inscrit dans le projet de recherche noland’s man, co-conçu par le collectif noLand et le Forum Vies Mobiles, un projet qui croise les approches sociologique, anthropologique, architecturale et photographique pour révéler le quotidien d’une population mobile dont le mode de vie, aujourd’hui marginal, pourrait se généraliser dans le futur.

Travellers, campements et bords de ville est une exposition de photographies sur les mondes néo-nomades. Ferjeux van der Stigghel y propose sa vision du périurbain, celle d’un espace d’entre-deux aux contours mouvants.



Et dans le cadre de l'évènement-lieu "YesWeCamp", noLand vous invite à vous plonger dans ce projet ambitieux, au programme, camping artistique et écologique, construit et animé sur les quais de l'Estaque à Marseille d'avril à septembre 2013


YesWeCamp Marseille2013, c'est en même temps :

- un CAMPING URBAIN ouvert à tous pendant tout l'été, avec des cabanes, des caravanes, des dortoirs et des espaces de tentes,

- un lieu d' ANIMATION QUOTIDIENNE avec des jeux pour les familles, des expositions, des ateliers de bricolage…

- une trentaine de RESIDENCES D'ARTISTES ouvertes à la participation des visiteurs,

- un ESPACE DE TRAVAIL COLLECTIF, de rencontre et d'échange à la disposition des entreprises et des associations locales,

- une MINI-VILLE EXPERIMENTALE ET AUTOCONSTRUITE, avec des systèmes écologiques et des objets innovants pour réinventer les usages quotidiens,

- un LIEU DE FETE, avec des grands événements et une programmation de quartier,

- une manière super originale de découvrir et faire la rencontre avec Marseille, étonnante cité sujet de multiples passions, et classée numéro 2 par le New York Times au palmarès des meilleurs endroits à visiter pour 2013.






> Pour avoir accès à l'ensemble du programme, veuillez vous rendre sur le lien ci-dessous.  

http://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/yeswecamp-marseille2013

> nomadisme et néo-nomades

noLand vous invite à prendre connaissance de l'échange qui a eu lieu entre Ferjeux Van Der Stigghel, photographe, membre de l'équipe et l'économiste Arnaud Le Marchand dans le cadre de la rubrique "Regards croisés" sur le site du Forum Vies Mobiles.
> Pour avoir accès à cet échange,, veuillez vous rendre sur le lien ci-dessous.  
http://fr.forumviesmobiles.org/regards-croises/2013/05/22/nomadisme-et-neo-nomades-764

> Evacuation, fin de saison !

noLand attire cette semaine votre attention sur l'actualité chablaisienne. Malgré les efforts du maire de la commune de Châtel, le préfet a ordonné l'évacuation des campements de saisonniers que nous avons suivis cet hiver. Nous vous laissons prendre connaissance des articles parus dans la presse locale...


> articles parus dans le Messager ( 74 )



> photos Sophie Greiller









> Architecte sur roues, à moteur, bref nomade....

noLand a invité une amie Géraldine Petit, architecte EPFL et spécialiste de la question de l'agriculture urbaine à partager son expérience de l'habitat nomade. En Australie, cette praticienne expérimente à travers le voyage, une approche toute particulière de la mobilité qui nourrira nos réflexions communes autour des travellers et de notre société.


> photos Géraldine Petit
                         




                         

" Au même titre que l'agriculture urbaine a été réintroduite par des situations de crise tel que le blocus cubain des années 90 ou les famines en Indes ou en Afrique dans les ville étendues, l'habitat mobile porte les prémisses de solutions dans un monde en transition. Au delà d'une conséquence de précarité, ce mode d'habiter questionne profondément nos modes de vie et leurs limites. Si l'agriculture urbaine s'attaque particulièrement à la question des effets néfastes de la mondialisation et de l'interdépendance des territoires sur la sécurité alimentaire, l'habitat mobile interroge sérieusement la notion de frontière et de droit au sol, par exemple. Ayant moi même par aspiration et inspiration expérimenté la vie nomade je me suis longtemps questionnée sur les motivations d'une telle expérience, ayant eu la chance de ne pas envisager ce mode de vie par obligation mais par choix. C'est en voyageant en Australie en camion que j'ai mûri mes réflexions sur ce que pouvait être les attraits de la mobilité de l'habitat et entre autre, les raisons pour lesquelles , moi et beaucoup de jeunes gens de notre génération y aspirait aujourd'hui, pour le moins temporairement.

Je me risque à un rapprochement rapide avec mon peu de connaissances de la culture Aborigène (c'est une culture orale et très secrète), car quelques lectures et beaucoup de conversations ont alimenté mes réflexions. Les songlines ou dreaming tracks des aborigènes, décrivent entre autres les terres australes par le voyage      ( Chatwin B. (1988), The Songlines, Edition: Penguin Books). Il s'agit d'une approche de l'homme au territoire par le mouvement. Cette culture, comme les cultures nomades, induit un rapport diffèrent à l'environnement qui résulte d'une approche différente du droit du sol, de la consommation , de l'usage du temps et de la connaissance de la nature. Ceci pose d'ailleurs des problèmes évidents de compréhension et d'intégration avec les cultures sédentaires, la situation des aborigènes en Australie ou les revendications Touareg en sont quelques symptômes. Notre société affiche aujourd’hui une aspiration à se reconnecter avec la nature et l'environnement. Architectes et urbanistes se penchent sérieusement sur cette question, sur les moyens de reconscilier nature et installation humaine (Paquot T. et Younès C., (2010) Philosophie de l’environnement et milieux urbains, Edition: La Découverte; Beatley T., (1957), Biophilic Cities, Edition: Island Press). Il ne serait donc pas inapproprié de s'intéresser aux leçons que le mode de vie nomade peut nous apporter et que la vie sédentaire nous a fait oublier, à force de recherche de sécurité et de confort. Ainsi, la limitation de l'espace habitable (habitacle), une capacité de mobilité et une volonté de ne pas impacter sur le territoire, induisent des solutions ingénieuses, compatibles à celle de la volonté de ne pas impacter sur l’environnement . Avec la mobilité se pose rapidement la question de l'économie de moyen et d'énergie. A la société de consommation s'oppose le modèle d'un rapport d'équilibre. Aujourd'hui, en terme d'écologie, on appellerait ça un bilan carbone 0, une empreinte écologique nulle, je préfère l'idée de balance....Chez les aborigène ce phénomène se traduit par un principe très simple : tout ce qui est pris à la nature doit lui être restitué , et pour cela on considère le cycle complet des éléments. Notre société parle aujourd'hui de cycle court, de recyclage.

Pour ce qui est des biens matériels, sans pour autant parler d'austérité, on constate rapidement que la notion d'accumulation est très limitée dans la vie de voyageur, et le rapport au bien matériel devient différent. S'établit rapidement une notion d'essentiel et de superflus qui possède une logique tout autre que celle du sédentaire d'aujourd'hui. On fait un pas contre la sur-consommation: on diversifie les usages, on réutilise, on répare, on recycle. Le changement d’environnement demande une grande créativité et flexibilité d'adaptation, capacité d'adaptation qui est à la base de la notion de résilience qui parcourt aujourd'hui nos têtes éclairées. Ingéniosité, créativité, réorientation, réorganisation, mise en valeur, et tout ça sur un laps de temps beaucoup plus court que celui du dessin de la ville, autant de qualités qui me fascinent chez les habitants du mobile, dans le mode d'habitat hors-sol. Cette attitude demande une attention particulière à notre environnement. Quelles sont les ressources disponible ? ( c'est valable dans un environnent urbain , comme naturel : une source d'eau ou une borne incendie, du bois ou une prise 220v...). Qu'est ce qui représente un atout, un obstacle ? (les animaux ou les hommes...). Bref,c'est de l'intégration environnemental au sens stricte, puisqu'encore une fois l'impact construit doit être nul. Il y a les vents, le soleil, la pluie, la chaleur, le froid, les reliefs, les bâtiments, la qualité du sol. Toutes les données du paysages sont re visitées de manière très pratique: un arbre est une ombre, un abris , une cachette, une source de nourriture, de chaleur.

Enfin la mobilité place l'homme dans un état de contemplation, c’est le bénéfice du changement. Le rapport au temps et à l'espace est différent, le mouvement du corps et des objets s'inscrit dans une expérience concrète du territoire, loin du piège virtuel de nos sociétés contemporaines. Le contact avec les autres aussi est modifié: les rencontres sont plus fréquentes, qu'elles soient bonnes ou mauvaises ; on expérimente plus directement le rejet et la solidarité. Bref, il me semble qu'un nouveau champ de connaissances s'ouvre à l'homme de nos sociétés occidentales avec la vie nomade. Et ce savoir, à mon avis, peut en beaucoup de point éclairer la société dans son évolution. Si vous en doutez, alors prenez la route... "Il est préférable de mourir en route pour un idéal trop élevé que de ne pas partir du tout." (Origène)."


Géraldine Petit   architecte EPFL


> Autoconstruction

Dans le cadre de l'exposition "Autoconstruction", visible durant le mois de l'architecture contemporaine en Normandie, noLand vous recommande le samedi 30 Mars de 15h à 18h, de prendre part au débat  : 

" Peut-on faire évoluer les pratiques architecturales par l’indiscipline ? " 

Ainsi, il est proposé à tous, auto-constructeurs, professionnels et curieux, de venir échanger autour de la question : peut-on faire évoluer les pratiques architecturales par l'indiscipline?


RENCONTRE: Entrée libre. Archipel, 41 rue d’Iéna. 





> Pour avoir accès à l'ensemble du programme des expositions, rencontres et ateliers, veuillez vous rendre sur le lien ci-dessous.  
http://www.mdahn.fr/media/mac2013progbd__025866000_1430_15022013.pdf 

> Guillaume Logé pour Forum Vies Mobiles


Dans le cadre de l'exposition "travellers, campements et bords de ville", Guillaume Logé nous offre son regard sur ce projet artistique, rencontre avec les photographies de Ferjeux Van der Stigghel.

" De nulle part. C’est-à-dire de partout. Habiter, mais hors les murs, mais hors-champ, toujours. Insaisissables. Populations plurielles qualifiées de néo-nomades. Ne pas laisser de traces. L’empreinte, c’est ce qui marque. Ne pas marquer. Dilemme pour l’œuvre d’art, qui s’expose, d’aller à la rencontre du non-exposable. Les noirs des photos, il faut comprendre : résistance à la monstration. Echappées, latentes. Toujours possibles. Pour dire que l’image essentielle ne peut pas tenir dans l’image traditionnelle – toute accroche est négation.
Comment saisir un flux sans risquer de le perdre ? Il faut s’y fondre. User du seul fixateur qui ne fixe pas : la poésie. Poésie qui ne s’empare pas ; qui se contente d’aller avec. Alors le photographe va avec. L’œuvre est avant tout œuvre de vécu. Ferjeux Van der Stigghel a acheté et aménagé son propre camion. Suivre les caravanes sur les grand-routes aussi bien que les marcheurs isolés sur les chemins de traverse.
Ses photographies ont commencé bien avant l’image, là : dans cet aller avec. L’œuvre, c’est d’abord son geste à lui, d’abord sa propre habitation – habitation poétique, et ce qu’on voit : un temps, une seconde, une heure, un jour, une vie – d’exposition. Photographie-parcours, sentier hors du cadre – il est un des leurs. Je reviens aux noirs de ses photos – je pourrais dire : aux lumières basses. Espaces majeurs de la mesure – sans limites. Je pense aux tableaux de Mark Rothko. Je pense à l’imprégnation infinie de l’espace. Je pense à des lieux sans lieux, à des états de présence pure, aux temps comme aux distances, infinis. Je pense à une mystique de l’espace – immanence. Être en route, non pas vers un quelque part, mais vers la route elle-même. Être, c’est être dans le voyage – ou dans la possibilité toujours offerte du voyage : et l’immobilité, fût-elle d’une décennie, de devenir elle aussi expérience d’absolue mobilité.
Mobilité, ou ne pas avoir de lien, de terre – sinon toute la terre. Les racines des néo-nomades ne prennent pas pour posséder, mais pour se déposséder. La mobilité, dans son essence, touche à la quête d’une liberté sans cesse revendiquée. On ne capture pas le vent, on le ressent, et c’est en le ressentant, qu’on le possède. A l’encontre du consumérisme ambiant, on entre dans une aire de l’instant, de l’intensité, de présence au monde.
Se mouvoir, c’est avant tout savoir que l’on peut se mouvoir : dans la bouche, le goût d’une liberté qui arrache les chaînes et rend l’homme à l’homme – dans ses mains, la matière disponible de son destin.
Ferjeux Van der Stigghel ne cède pas à l’utopie. S’il fait œuvre de poète, s’il nous donne aux passages, s’il nous offre à l’horizon, il n’en pointe pas moins l’âpre du réel : la précarité, la marginalité, l’incompréhension, le heurt (que l’on sent, en suspens, si souvent) avec une architecture sociétale incapable de se remettre en question, incapable de sortir de ses schèmes et de se penser avec d’autres codes. Oui, c’est une œuvre qui dérange, une œuvre d’inconfortable émerveillement – une beauté qui inquiète et qui fascine."

Guillaume Logé   pour Forum Vies Mobiles

ci-dessous: extrait de l'exposition "travellers, campements et bords de ville", photos Ferjeux Van der Stigghel












> Expo Maison Rouge (Paris)

Le collectif noLand vous propose de consulter son fascicule d'exposition "travellers, campements et bords de ville", distribué les 24 et 25 janvier dernier lors des deuxième rencontres internationales du Forum Vies Mobiles.





> recto/verso couverture fascicule A5










> exposition "travellers, campements et bords de ville", photo Maude Reitz







> RDV Maison Rouge (Paris)

Les artistes explorent les mobilités périurbaines à la Maison Rouge les 24 et 25 janvier 

Les espaces périurbains peuvent-ils devenir des lieux privilégiés d’adaptabilité aux crises économique, énergétique et climatique du XXI  siècle ? Les 24 et 25 janvier 2013, le Forum Vies Mobiles, transintitut de recherche et d'échanges sur la mobilité, organise à la Maison Rouge une confrontation inédite de points de vue sur le sujet. Des chercheurs en sciences sociales, des artistes et des praticiens des transports revisiteront nos connaissances sur le périurbain, laissant entrevoir qu’il est peut-être un territoire d’avenir pour mener de bonnes vies durables.
Avec l’idée que l’art peut aider à saisir et éclairer des problématiques scientifiques, les expositions Vertiges et mythes du périurbain  etTravellers, campements et bords de ville , placées au cœur du colloque « Des mobilités durables dans le périurbain, est-ce possible ? », explorent cet entre-deux géographique.

" Vertiges et mythes du périurbain"  donne à voir la complexité du devenir périurbain. Cette exposition d’art contemporain imaginée par Irène Aristizábal, curatrice, propose un éventail de possibilités de lecture autour des modes de vie périurbains. La dimensiondes désirs et mythologies liés au périurbain fait face à celle des réalités vécues ou perçues par ceux qui investissent cet espace, y vivent, le traversent. Elle sera l’occasion de découvrir les nouvelles productionsdeMaria Thereza Alves, Iván Argote et Pauline Bastard, Justin Bennett et Ariane Michel et de redécouvrir le Western moderne tourné par l’artiste Nicolas Boone sur la voie ferrée entre Corgnac-sur-l’Isle et Excideuil ; l’installation Perfectly Suited For You (2005) et la série Dreamland Cairo (2010) que l’artiste Solmaz Shahbazi a réalisées dans des gated communities d’Istanbul et du Caire, ainsi que le projet AVL Ville développé dans le port de Rotterdam par les designers de l’Atelier van Lieshout.

"Travellers, campements et bords de ville" est une exposition de photographies sur les mondes néo-nomades. Ferjeux Van der Stigghel y propose sa vision du périurbain, celle d’un espace d’entre-deux aux contours mouvants.Le photographe s’est associé à l’architecte Sophie Greiller et l’anthropologue Maude Reitz, sous la direction scientifique du sociologue Yves Pedrazzini, pour explorer les mondes néo-nomades. L’enquête du collectif noLand porte sur les manières de vivre et d’habiter de ceux qui ont rompu avec la sédentarité pour inventer de nouveaux modèles familiaux et communautaires, de nouveaux ancrages spatiaux et professionnels.Le périurbain est un espace que ses propriétés mouvantes rendent propre à accueillir des pratiques atypiques, un habitat et une culture de la mobilité alternatifs. En ce sens, les « travellers » sont porteurs de périurbanité, une périurbanité qui se donne à voir dans leur désir de faire trace en lisière de forêt, sur les bords de route. Le périrubain vu par noLand interroge les normes, les manières de faire et de vivre la ville et porte en germe des réponses innovantes, à la fois techniques et sociales, aux problèmes contemporains.

La Maison Rouge
10, Boulevard de la Bastille, Paris 12 (M°: Quai de la Rapée ou Bastille / RER : Gare de Lyon)
Entrée libre sur inscription à : contact@forumviesmobiles.com
Horaires d’ouverture :
Jeudi 24 janvier : 19h00-23h00
Présentation de l’exposition Vertiges et mythes du périurbain     
Irène Aristizabal , commissaire de l’exposition
Présentation de l’exposition Travellers, campements et bords de ville 
Yves Pedrazzini (Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne) 






> photo Ferjeux Van der Stigghel